Au détour et des rues
Le temps s'est joué de tes pierres, ruelle
Il s'est arrêté en chemin, cruel.
combien de destins t'ont frayée !
combien de secrets t'ont frôlée !
ne filent que les ombres
qui te hantent aux heures sombres.
silencieuse,
mystérieuse.
Le calme l'emporte ici. Il y a des vies que l'on soupçonne,
RépondreSupprimerJ'aime les bourgs et les villes,uniquement quand il n'y a personne.