Gardon... Gardons à l'esprit que l'océan est bien trop grand pour unifier des pensées. Que les rivières sont éphémères pour les garder là où nous les déposons. Gardon... Gardons l'image des rivières vivantes dans leurs décors... Déposons nos pensées dans l'urne unique de la pensée des lieux, frissonnants de modulation, comme le secret de la matière seule sait le faire. Dieu est là. La nature... Notre terre; notre rivière de vie...
Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux à la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce printemps-là ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? je ne sais pas Mais pour tant de beauté, Merci, et chapeau bas !
Il disait vouloir toujours m'embrasser Et c'était sans compter Me câliner, m'enlacer Et c'était sans compter Il me promettait passion et fidélité Et c'était sans compter Rien ne pourrait nous séparer Et c'était sans compter Il me disait qu'il m'aimait Et c'était sans compter C'était sans compter... Deux fesses sur un canapé
En été, un jour au soleil, Quand l'amour souffle à mon oreille, Un chant sucré comme le miel des abeilles, Il y a comme des larmes de rosée Sur les fleurs des jardins. En été, un jour au matin.
Gardon... Gardons à l'esprit que l'océan est bien trop grand pour unifier des pensées. Que les rivières sont éphémères pour les garder là où nous les déposons. Gardon... Gardons l'image des rivières vivantes dans leurs décors... Déposons nos pensées dans l'urne unique de la pensée des lieux, frissonnants de modulation, comme le secret de la matière seule sait le faire. Dieu est là. La nature... Notre terre; notre rivière de vie...
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