Un visage d'ancien beau jeune homme. Il lui reste sa force et son âme vive. Déchiqueté pour humaniser la pierre. Lacéré par les coups bas de la vie. Loqueteux, dépenaillé, guenilleux, haillonneux. Prêt à vivre comme un véritable être. Prêt à traverser sa vie. Et celle des autres. Qui l'adopteront. En transfiguration... . (Images flashs; de mots)
Est-ce Dieu, est-ce Diable Ou les deux à la fois Qui, un jour, s'unissant, Ont fait ce printemps-là ? Est-ce l'un, est-ce l'autre ? je ne sais pas Mais pour tant de beauté, Merci, et chapeau bas !
Il disait vouloir toujours m'embrasser Et c'était sans compter Me câliner, m'enlacer Et c'était sans compter Il me promettait passion et fidélité Et c'était sans compter Rien ne pourrait nous séparer Et c'était sans compter Il me disait qu'il m'aimait Et c'était sans compter C'était sans compter... Deux fesses sur un canapé
En été, un jour au soleil, Quand l'amour souffle à mon oreille, Un chant sucré comme le miel des abeilles, Il y a comme des larmes de rosée Sur les fleurs des jardins. En été, un jour au matin.
Un visage d'ancien beau jeune homme.
RépondreSupprimerIl lui reste sa force et son âme vive.
Déchiqueté pour humaniser la pierre.
Lacéré par les coups bas de la vie.
Loqueteux, dépenaillé, guenilleux, haillonneux.
Prêt à vivre comme un véritable être.
Prêt à traverser sa vie.
Et celle des autres.
Qui l'adopteront.
En transfiguration...
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(Images flashs; de mots)